Workshop 1 Soutien à la BD maintenant! Pourquoi le soutien à la BD doit être développé
Modération: Judith Christen (directrice du département Culture et Sport Lucerne) et Sébastien Maret, comité Réseau BD Suisse
La bande dessinée jouit d’une longue tradition en Suisse, aussi le pédagogue, écrivain, politicien et auteur de bande dessinée suisse genevois Rodolphe Töpffer (1799–1846) est considéré comme l’inventeur de la BD. Malgré cela, le soutien à la bande dessinée en est encore à ses débuts. Presqu’aucune instance de soutien ne reconnait la BD comme une discipline indépendante. Hybride entre l’art figuratif et la littérature, elle se retrouve coincée entre deux chaises. Pour le soutien à la littérature, les récits racontés sous la forme de la BD sont trop peu complexes et trop peu littéraires – et pour le soutien à l’art, la BD est trop proche du quotidien et trop appliquée. En dehors du prix Töpffer, il y a la bourse de la BD des villes alémaniques. Mais même là, sur les six villes du départ, ce ne sont plus que trois d’entre elles qui s’engagent, précisément deux villes et une fondation.
Où est le problème? Les organismes de soutien montrent-ils trop peu d’intérêt? Est-ce un manque d’expertise de ces derniers? Ou bien est-ce la scène de la BD qui devrait s’engager davantage? Et comment pourrait-on remédier à ce déficit? Quels seraient de nouveaux modèles et de nouvelles responsabilités?
Modération: Judith Christen (directrice du département Culture et Sport Lucerne) et Sébastien Maret, comité Réseau BD Suisse
La bande dessinée jouit d’une longue tradition en Suisse, aussi le pédagogue, écrivain, politicien et auteur de bande dessinée suisse genevois Rodolphe Töpffer (1799–1846) est considéré comme l’inventeur de la BD. Malgré cela, le soutien à la bande dessinée en est encore à ses débuts. Presqu’aucune instance de soutien ne reconnait la BD comme une discipline indépendante. Hybride entre l’art figuratif et la littérature, elle se retrouve coincée entre deux chaises. Pour le soutien à la littérature, les récits racontés sous la forme de la BD sont trop peu complexes et trop peu littéraires – et pour le soutien à l’art, la BD est trop proche du quotidien et trop appliquée. En dehors du prix Töpffer, il y a la bourse de la BD des villes alémaniques. Mais même là, sur les six villes du départ, ce ne sont plus que trois d’entre elles qui s’engagent, précisément deux villes et une fondation.
Où est le problème? Les organismes de soutien montrent-ils trop peu d’intérêt? Est-ce un manque d’expertise de ces derniers? Ou bien est-ce la scène de la BD qui devrait s’engager davantage? Et comment pourrait-on remédier à ce déficit? Quels seraient de nouveaux modèles et de nouvelles responsabilités?